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Ma Petite Voix m'a dit
AVE VERUM CORPUS


FRISE-FLEURS
« Avoir la foi, c'est signer une feuille blanche et permettre à Dieu d'y écrire ce qu'il veut. »  Saint Augustin

Chapelle de Wohlfartshoffen

Ton Silence, ma petite chapelle bien-aimée, s'est gravé dans mon âme.

 

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À ma France, il faut son Roi.

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France, Fille Aînée de l'Église, retrouve ta Mémoire, sinon tu périras !

FRISE-FLEURS

SOS FRANCE EN DANGER

  "je sçay bien que les Anglois me feront mourir, croyant qu'après ma mort ils gagneront sur le royaume de France ; mais quand même ils seraient cent mille godons de plus qu'ils ne sont présentement, ils n'auraient pas ce royaume". Ste Jeanne d'Arc



FRISE-FLEURS

Christus Vincit, Christus Regnat, Christus Imperat

FRISE-FLEURS

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« Tout n’est pas fini dans le siècle que nous traversons : On voudrait détruire la Sainte Église et la France Catholique.

Quand on connaitra les secrets des âmes, secrets en ce moment cachés, on verra que c’est par vous, ô Marie, que la France aura été sauvée. »

 Berguille

In hoc

frise Lys

Hommage au Silence - Ode à mon Ange Gardien

 

FRISE-FLEURS                                                                                   

Archange Rouleau

 

 Qu’il est doux se promener avec toi,

 les matins roux, le long des bois,

 çà et là surprendre des fleurs en robes des champs,

 ci et là s'incliner pour inlassablement laisser

 nos mains caresser

 les mousses épaisses

 des chemins insoucieux.

 ***+***
Unis pour l'éternité dans le Silence

et

la Joie infinie de la Liberté en Dieu.

 

L'envers du décors ---S

 

FRISE-FLEURS

France pays multiculturel

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FRISE-FLEURS                                                                                                    

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Jeanneliberatrice

21 juin 2018

21 juin 1429. A Saint Benoît-sur-Loire, Jeanne, Dieu et le roi : la triple donation

La-triple-donation-du-Royaume-de-France_visuel

 

Peu avant le sacre de Charles VII, à Reims, le 17 juillet 1429, Jeanne par un pacte officiel et public renouvelle le pacte conclu entre Dieu et le Royaume de France naissant à Reims en 496. Qui connaît, aujourd’hui, ce qui s’est passé le mardi 21 juin 1429 à 16 heures en l’abbaye de Fleury-sur-Loire, appelée ensuite Saint-Benoît-sur-Loire ? C’est pourtant là qu’a lieu un évènement central de toute l’histoire de France.

 Alors que la confusion la plus grande règne en France où « il y a grande pitié », Dieu se manifeste à notre nation. Débauche, immoralité, trahison des clercs et des élites intellectuelles de l’université de Paris, politique qui avec la reine Isabeau de Bavière, ont vendue la France par le traité de Troyes, qui la donne à Henri V Roi d’Angleterre, scandale de la filiation du Dauphin, le futur Charles VII, que sa propre mère appelle « batard » ; tout semble annoncer la disparition de la Fille Ainée de l’Eglise.

 La triple donation du Royaume de France est racontée dans le Breviarium historiale, texte rédigé peu après, au cours de l’été 1429, qui est consultable à la Bibliothèque Vaticane.

 Jehanne dit à Charles : « Sire, me promettez-vous de me donner ce que je vous demanderai ? » Le Roi hésite, puis consent. « Sire, donnez-moi votre royaume ».

 Le Roi, stupéfait, hésite de nouveau ; mais, tenu par sa promesse et subjugué par l’ascendant surnaturel de la jeune fille : « Jehanne, lui répondit-il, je vous donne mon royaume ». Après quoi, voyant celui-ci tout interdit et embarrassé de ce qu’il avait fait : « Voici le plus pauvre chevalier de France : il n’a plus rien ».

 Cela ne suffit pas : la Pucelle exige qu’un acte notarié en soit solennellement dressé et signé par les quatre secrétaires du Roi. « Notaire, écrivez dit la pucelle inspirée : le 21 juin de l’an de Jésus christ 1429, à 4 heures du soir, Charles VII donne son royaume à Jeanne. Ecrivez encore : Jeanne donne à son tour la France à Jésus-Christ. Nos Seigneurs dit-elle d’une voix forte, à présent, c’est Jésus-Christ qui parle : “moi, Seigneur éternel je la donne au Roi Charles”.

 Que signifie cet événement capital ?

 – que ce Dauphin, que l’enseignement républicain nous présente comme un indécis et un demeuré, voire le digne fils d’un fou, mais que ses contemporains appellent le « bien-servi » (ce qui signifie qu’il savait juger les hommes), montre en cette occasion une foi extraordinaire en la Providence. Toute sa vie est d’ailleurs un exemple remarquable de Roi très chrétien.

 – que c’est le Christ qui a voulu être, et est, roi de France ; et le Christ a voulu nous le faire savoir par l’entremise d’une fille de 17 ans.

 – que la raison d’être de notre pays est de proclamer à la face de l’univers la royauté universelle du Christ sur le monde, c’est sa mission « d’éducatrice des nations » ;

 – que cet acte officiel et capital consacre le Roi de France comme le lieutenant du Christ ; si les successeurs de Charles VII avaient compris, ils auraient considéré ce document comme le plus grand de leurs trésors ; ils l’auraient relu et médité tous les jours et seraient encore aujourd’hui sur le trône ;

 Dès le lendemain, le Dauphin décide d’aller à Reims pour se faire sacrer, malgré plusieurs opposants et grâce à l’insistance de Jeanne. Le pacte de Reims se renouvelle alors que tout semblait perdu. Or a-t-on vu un vrai roi abandonner ses sujets ? Peut-on penser une minute qu’après avoir tant châtiée la France, il ne puisse ne pas répondre aux prières le suppliant de convertir le pays ?

 Un autre 21 juin, en 1823, à Paris, en la fête du Sacré-Cœur, la Sœur Marie de Jésus, religieuse de la Congrégation Notre-Dame (chanoinesses de Saint-Augustin) au Couvent des Oiseaux à Paris – qui dit recevoir des communications de Jésus au sujet de la consécration de la France au Sacré Cœur – est favorisée d’une nouvelle vision, où une demande lui est faite en termes formels.

 « La France est toujours bien chère à mon divin Cœur, et elle lui sera consacrée. Mais il faut que ce soit le Roi lui-même qui consacre sa personne, sa famille et tout son royaume à mon divin Cœur ; et qu’il lui fasse, comme je t’ai déjà dit, élever un autel comme on en a élevé un en l’honneur de la Sainte Vierge. Je prépare à la France un déluge de grâces lorsqu’elle sera consacrée à mon divin Cœur. – Eh ! quoi, les outrages faits à la majesté royale ont été réparés publiquement : et les outrages sans nombre que j’ai reçus dans le Sacrement de mon amour n’ont pas encore été réparés ! On craint de parler au Roi, on craint qu’il ne soit pas disposé à entendre parler de ce double bonheur pour lui aussi bien que pour sa famille et pour son royaume ! Ah ! je tiens tous les cœurs dans ma main, et celui du Roi est disposé à faire tout ce qu’on lui demandera pour ma gloire. Tous les jours il en donne des preuves. La demande qu’on lui a faite de travailler à la béatification de la Mère Marguerite-Marie Alacoque n’a-t-elle pas été parfaitement accueillie ? Que N*** parle et il verra. Je prépare toutes choses : la France sera consacrée à mon divin Cœur ; et toute la terre ressentira des bénédictions que je répandrai sur elle. La foi et la religion refleuriront en France par la dévotion à mon divin Cœur. »

Source :

La triple donation du Royaume de France - Décryptage - Actualité - Liberté Politique

Peu avant le sacre de Charles VII, à Reims, le 17 juillet 1429, Jeanne par un pacte officiel et public renouvelle le pacte conclu entre Dieu et le Royaume de France naissant à Reims en 496. Qui connaît, aujourd'hui, ce qui s'est passé le mardi 21 juin 1429 à 16 heures en l'abbaye de Fleury-sur-Loire, appelée ensuite Saint-Benoît-sur-Loire ?

http://www.libertepolitique.com

Si Charles VII et ses successeurs avaient compris, Ils auraient fait enchâsser le merveilleux parchemin

 Le parchemin auquel il est fait allusion ci-dessous, c'est naturellement l'acte notarié dressé à la demande de Jeanne d'Arc. Saint-Benoît-sur-Loire, mardi 21 juin 1429, 16 heures.

"Si Charles VII et ses successeurs avaient compris, Ils auraient fait enchâsser le merveilleux parchemin Dans l'or et dans la soie ; Ils l'auraient entouré de pierres précieuses Car ils n'avaient pas dans leur trésor diamants comparables. Ils l'auraient relu et médité tous les jours. Non seulement ils seraient aujourd'hui sur le trône, Mais l'univers serait dans les bras de Jésus-Christ Et ce serait la France qui l'y aurait placé" J.-B. Ayroles, S.J. «La vraie Jehanne d’Arc», p. 59.

Source

La triple donation du royaume de France : 21 juin 1429 - SYLMpedia

Cette triple donation ne s 'est pas faite en une seule fois au milieu du XV e siècle, même si elle se situe dans une histoire de France immémoriale. En effet depuis le baptême de Clovis, traditionnellement placè au 25 décembre 496 Clovis, les rois de France sont les lieutenants du Christ et ils s'engagent par leur sacre à défendre l'Eglise catholique.

https://www.sylmpedia.fr

 

 

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